sábado, 27 de outubro de 2012

La prima cosa bella ou como destruir a vida de um filho ou perdoa-me por ser como sou

La prima cosa bella ou comment détruire la vie d'un fils ou pardonnez-moi d'être comme je suis Chers amis, je suis de plus en plus occupée, avec beaucoup de choses à faire, avec des rédactions à corriger, un chapitre de livre à finir, un autre livre à mettre à jour, et j’ai pris un film au club vidéo. "Angela Filomena, où est ta responsabilité?" Je me dis à moi-même, ce qui se produit avec une fréquence plus que souhaitable ... Ce film “m'a appelé.” Ouais, ça arrive. Et celui-là m'a anéanti, mes amis. Regardez la bande annonce ci-dessous. Je suis encore sous l'effet, comme ça m’arrive, en général, quand je vois un film qui me marque profondément, me fait pleurer jusqu'à ce que je me déshydrate, comme “Out of Africa avec Meryl Streep et Robert Redford et La Route de Madison avec la même actrice et Clint Eastwood (je l'aimais bien, mais quand j’ai su que c'est un salaud de soutenir fortement l'utilisation d'armes. Ça y est !! Je ne l'ai plus aimé.) La prima cosa bella a agi comme une catharsis pour moi. Italiens. Famille. Relation mère /fils. Amour. Séparation. Complexe.Tragédie-comédie. Anna, la mère de la famille, le personnage principal, jouée par l'actrice Micaela Ramazzotti, jeune et immature, très séduisante, mais non préparée pour la vie , je pense qu'elle ne savait pas évaluer le pouvoir de séduction qu'elle exerce sur les hommes. Comme je l'ai dit, néanmoins, Anna était une mère aimante et accrochée à ses enfants : Bruno (aussi personnage central) et Valeria. Le mari n’a pas supporté la jalousie et le couple se sépare après une dispute bien qu’ils s’aiment toujours.Anna,frivole, insensée, quitte la maison avec ses enfants et pense rester chez sa sœur, mais ça ne marche pas et ils descendent dans un hôtel misérable où elle rencontre un journaliste opportuniste et minable, mais qui l’aide dans ses “débuts” au cinéma, dans des films comme simple figurante. Bruno voit tout, subit tout, sent tout. Bruno souffre de la beauté, de l'extraversion et de la convivialité de cette mère et ne tolère pas les copains qui en résultent. La vie continue, les temps sont durs, parfois deviennent très humiliants et embarrassants pour Anna qui voulait rester proche de ses enfants. A chaque nouvel emploi, Anna doit faire face à son incompétence et au harcèlement des patrons. Bruno voit tout, subit tout, sent tout. Les démonstrations de l'amour maternel, le soutien exagéré pour ce fils dont Anna ne se lasse pas de vanter la beauté et l'intelligence, ce qui le dérange beaucoup. Il arrive un moment où Bruno ne tolère plus vivre avec cette mère si gênante, si envahissante et il quitte Livourne (Toscane) et sera professeur de littérature à Milano.L’enfant et l’adolescent "détruit", "angoissé", "tourmenté" , devient un adulte avec les mêmes “adjectifs”. Je les ai mis entre guillemets parce que, à mon avis, il ne devait pas être ainsi. L'amour et l'acceptation ne lui ont jamais manqué. Tout le problème est qu'il n'a jamais accepté cette mère complètement différente de lui. Adulte, il se drogue et est très malheureux en dépit de vivre avec une belle et vivante fille. Il ne sait pas pourquoi il est si malheureux. Il ne sait même pas exprimer ce qu'il ressent dans l'âme. Bruno (Valerio Mastandrea) ne se permettait jamais d'être heureux, léger, libre. C’est comme il portait toujours une cuirasse. Il n’a jamais lutté contre ce sentiment de honte d'avoir une mère gaie, courageuse, attirante qui le consternait et l'exposait à ses copains. Il s'éloigne de sa mère et de sa sœur pendant 20 ans. Il laisse derrière lui ce qu’il ne supporte plus: le regard maternel, le comportement maternel, les «invasions» de la mère. On reconnait qu’elle exagère, mais c’est sa façon à Anna de montrer son grand amour pour ses enfants. Seul l'amour. Elle n'avait jamais imaginé que son fils souffrait. Bruno part en croyant tout abandonner.Dans le fond, il emporte avec lui la joie de vivre constante de la mère, malgré toutes les scènes des désaboires. Même après avoir été humiliée et piétinée, elle serre ses enfants dans ses bras et chante pour eux, chante toujours. Plusieurs scènes ainsi. Bruno revient à Livourne seulement à cause de sa sœur qui l'appelle parce que sa mère est mourante. Il part sans vraiment avoir envie de revoir sa mère (maintenant jouée par l’ excellente Stefania Sandrelli), sa sœur, sa ville, les gens, tout ce qu’il ne voulait plus, lâchement,revoir.Tout ce qu'il voulait effacer. En arrivant à l'hôpital, il est surpris et ne peut pas croire sa sœur, voyant sa mère soignée, élégante, portant une perruque pour déguiser les ravages de la chimio, bavardant joyeusement avec d'autres patients, hommes.Anna a toujours eu envie de vivre, elle veut encore profiter de ce petit fil de vie qui lui reste. Anna s’enfuit de l'hôpital pour aller au cinéma et seul Bruno sait où elle est. Toujours tendu, évitant toujours de laisser libre cours à sa joie, toujours sérieux, il ne veut pas rester au cinéma. Mais la mère insiste et il reste. En sortant, Anna aime faire de la moto serrée contre son fils adoré, lui demande d'arrêter et de danser un peu. Il ne veut pas, il ne veut pas se le permettre, il a la honte de sa mère face à des jeunes qui font des commentaires sur eux. Elle ne remarque même pas. Anna veut danser et serrer dans ses bras ce fils tant aimé, toujours aimé et lui, il s'inquiète des commentaires des autres ... Bien agaçant. Il y a un moment où il s’abandonne et se laisse enlacer.Et, alors, il lui demande doucement pourquoi il se sent si malheureux. Elle ne l'entend pas. Ce qui est dommage. Un moment si mémorable dans le film.J’aimerais bien entendre sa réponse à elle, ce qui l’aiderait sûrement, l’aiderait à se libérer.Elle lui demande de répéter ce qu’il venait de dire. Bruno ne le fait pas et préfère réprimander les jeunes vicieux. À ce moment-là, Anna a un grave malaise et il faut la ramener à l'hôpital. Bien souffrante, elle murmure un nom: Cristiano. Ce n'est qu'alors que Bruno et Valeria découvrent qu'ils ont un demi-frère, le fruit de la relation de leur mère avec un avocat ... amoureux de sa femme. Ce couple, l'avocat et sa femme, la convainc d'avoir un enfant avec lui, l’avocat, et de le leur donner pour être élevé parce que sa femme ne pouvait pas avoir d' enfants. Anna accepte, mais souffre beaucoup car le bébé lui manque. Bruno et Valeria vont chercher leur demi-frère Cristiano pour la joie de la mourante. Cristiano vient avec sa mère adoptive qui est toujours très reconnaissante à Anna. Dans un passage du film, Bruno demande au médecin de sa mère, un médicament, quelque chose qui lui apporte le bonheur et le libère de tout le poids que porte son coeur.Le médecin lui a répondu à bon escient: - Allez vous baigner à la plage, ça vous fera du bien. Que des exercices physiques... Bruno ne le fait que quand il s’en sort enfin. Et voici la chanson qui a donné son nom au film: La più bella cosa (Eros Ramazzotti) qui est chantée par la mère avec ses enfants quand son mari la chasse de la maison et à la fin du film aussi un peu avant sa mort.Là, j'étais en larmes et je sais que ce sera un film inoubliable. http://www.youtube.com/watch?v=2_HwFuRRPu0 Queridos amigos, pois é, cada vez mais atarefada, com alguns trabalhos pendentes,com redações para corrigir, capítulo de livro para terminar, outro livro para atualizar, e peguei um filme na locadora. " Angela Filomena, onde está sua responsabilidade ?" Sou eu mesma brigando comigo mesma, o que acontece com uma frequência mais do que desejável... Este filme me 'chamou". É, isso acontece. Quase sempre. Mas, este me aniquilou, meus amigos. Vejam o trailer acima. Ainda estou sob o efeito dele como acontece, via de regra, quando vejo um filme que me marca profundamente, me faz chorar até me desidratar, como Out of Africa ( África minha), com Meryl Streep et Robert Redford e As Pontes do rio Madison, com a mesma atriz e Clint Eastwood ( gostava muito dele, mas soube que é um canalha no sentido de apoiar com veemência o uso de armas. Pronto ! Não gosto mais.) La prima cosa bella agiu em mim como uma catarse. Italianos. Família. Relação mãe/filho. Amor. Separação. Complexo.Cômico-trágico. Anna, mãe da família, personagem principal, representada pela atriz Micaela Ramazzoti, jovem, muito sedutora e imatura.Apesar do seu despreparo para a vida, penso que não conseguia avaliar o poder de sedução que exercia sobre os homens. Como eu dizia, apesar disso, era uma mãe amorosa e apegada aos filhos Bruno ( personagem também central) e Valéria. O marido não "segura" o ciúme e o casal depois de uma briga se separa apesar de se amarem ainda e sempre.Frívola , insensata, sai de casa com os filhos pequenos e pensa se alojar na casa da irmã mas não dá certo e vão para um hotel miserável onde conhece um jornalista de quinta que a ajuda a se iniciar no cinema como figurante. Bruno tudo vê, tudo sofre, tudo sente. Bruno padece com a beleza, a extroversão e simpatia desta mãe e não tolera os consequentes namorados. A vida passa, os momentos difíceis se sucedem, por vezes bem humilhantes e embaraçosos para que Anna pudesse continuar sempre com os filhos. Em todo novo trabalho,precisa enfrentar sua inaptidão e o assédio dos patrões. Bruno tudo vê, tudo sofre, tudo sente. As demonstrações de amor materno, as torcidas explícitas por este filho que Anna não cansa de elogiar a beleza e a inteligência, tudo o incomoda enormemente. Chega a um ponto em que não aguentando mais conviver com esta mãe tão incômoda,tão invasiva ele vai embora de Livorno ( Toscana) e vai ser professor de literatura em Milano.O menino e o adolescente "massacrado", "angustiado", "atormentado", transforma-se em um adulto com os mesmos "adjetivos". Coloquei-os com aspas porque, na minha opinião, ele não tinha de ser assim. Amor e aceitação nunca lhe faltaram. O problema todo é que ele não aceitava aquela mãe.Adulto ele se droga, é muito infeliz apesar de viver com uma mulher linda e animada. Ele não sabe porque é assim tão infeliz.Não consegue expressar o que lhe vai na alma. Bruno( Valerio Mastandrea) nunca se permitiu ser feliz.Nunca lutou contra este sentimento de vergonha de ter uma mãe alegre, corajosa, atraente que o consternava e expunha perante os colegas. Afasta-se da mãe e da irmã por 20 anos. Deixou para trás o que não suportava mais: o olhar materno, o comportamento materno,as "invasões " maternas. Certo é que Anna exagerava mas era o jeito dela de demonstrar seu grande amor por estes filhos. Só amor. Nunca imaginou que fazia seu filho sofrer. Bruno, ao partir, pensa que deixa tudo para trás. No fundo, traz com ele a alegria constante da mãe apesar de todos os dissabores.As cenas em que ela, mesmo depois de humilhada e espezinhada, se abraça aos filhos e canta para elas, canta sempre. Várias cenas assim. Bruno só volta a Livorno quando a irmã o chama porque a mãe está morrendo. Viaja sem vontade de reencontrar a mãe ( agora interpretada pela excelente Stefania Sandrelli), a irmã, a cidade, as pessoas, tudo do que não queria, covardemente, mais saber.Tudo o que desejava apagar. Ao chegar ao hospital, fica surpreso e não acredita na irmã, ao ver sua mãe arrumada, elegante, com peruca para não mostrar a devastação da químio, conversando animadamente com os outros doentes, sempre homens.Ela quer viver, quer aproveitar este fiozinho de vida que ainda lhe resta. Foge do hospital para ir ao cinema e só Bruno sabe onde ela está. Sempre rígido, sempre evitando dar vazão à alegria, sempre sério, não quer ficar no cinema. Mas, a mãe insiste e ele fica. Ao sair,Anna adora andar de moto abraçada com o filho, pede para parar e dançar um pouquinho. Ele não quer, não se permite,fica com vergonha dos jovens que comentam sobre ele e a mãe dançando. Ela nem nota. Anna quer dançar e abraçar aquele filho tão amado, sempre amado e ele preocupado com os comentários dos outros... Há um momento em que ele cede e se deixa abraçar.E lhe pergunta baixinho por que é tão infeliz. Ela não o ouve. Pede para repetir. Ele não o faz e prefere ir repreender os jovens maldosos. Neste momento, ela tem um sério mal estar e precisa voltar ao hospital. Já bem mal, ela balbucia um nome: Cristiano. Só então Bruno e Valéria descobrem que têm um meio-irmão mais novo, fruto de um relacionamento da mãe com um advogado ...apaixonado pela própria esposa. O casal, o advogado e a mulher , fica subentendido no filme, a convence de ter um filho com ele e de lhes dar para criar já que a esposa não podia. Anna aceita mas sofre muito de saudade. Bruno e Valéria vão buscar este irmão para alegria da moribunda. Cristiano vem acompanhado da mãe adotiva que lhe é muito reconhecida. Em uma passagem do filme, Bruno pede ao médico da mãe, um remédio, algo que lhe traga felicidade e o livre de tanto peso. O médico lhe responde sabiamente: - Vá à praia tomar um banho de mar, isto lhe fará muito bem.Sempre exercícios físicos. Bruno só o faz quando finalmente se liberta. E aqui a canção que deu nome ao filme: La più bella cosa ( Eros Ramazzotti) que é cantada pela mãe junto com os filhos quando o marido a expulsa de casa e no final também. Neste momento,eu já estava em prantos e sei que será um filme inesquecível. http://www.youtube.com/watch?v=DEZjJh3QWqM http://www.youtube.com/watch?v=DEZjJh3QWqM

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